Les kasbahs du Dadès, à la beauté si particulière, se confondent avec la terre d’où elles sont nées.
Citadelles élevées dans le passé par des chefs locaux et qui perpétuent le souvenir des luttes d’influence de l’époque, ne devant rien à l’art hispano-mauresque, mais relevant d’un art autochtone, berbère, à caractère rural – dont la pauvreté de la matière première (boue séchée et briques crues) est compensée par la décoration géométrique (damiers, triangles, chevrons, losanges, croix, roue solaire,…)